D’après le chercheur Loro horta, le Brésil est considéré comme un acteur politico- économique majeur au Mozambique et dans d’autres pays africains, avec ses entreprises qui investissent dans les mêmes secteurs que d’importants investisseurs chinois et indiens. Dans un article intitulé, Le baiser de l’Anaconda, publié ce mois-ci dans le Latin Business Chronique, Horta a déclaré que la présence croissante du Brésil est passée inaperçue, par rapport à l’accent mis sur la Chine et l’Inde, qui sont deux autres grandes économies émergentes. Une montée du Brésil avec une communauté d’affaires de plus en plus puissante et impatiente de trouver de nouveaux marchés à investir sa nouvelle richesse, explique le chercheur. Quoique, les entreprises brésiliennes participent à la mise en œuvre des projets dans des pays comme le Malawi, le Zimbabwe et la Namibie, mais la principale destination des investissements brésiliens se fait par rapport à la langue portugaise des pays africains, en particulier l’Angola et le Mozambique. L’économie mozambicaine a due recevoir le plus grand investissement jamais réalisé par le Brésil en Afrique.
Cependant, l’agriculture est également une cible importante pour les investisseurs brésiliens, et selon les dernières nouvelles, le gouvernement Mozambicain veut attirer les producteurs de coton, de soja, de maïs et prévoit de rendre les terres disponibles pour cela. Pour clore ,un autre accent a été mis sur la production de biocarburants pour lesquels le gouvernement brésilien a prévu une ligne de 97 millions USD de crédit pour les petits projets agricoles, qui a ensuite été augmenté à 300 millions $ US.
Visiblement, ni les Africains, ni les Brésiliens ne tiennent compte des erreurs des Occidentaux. Ils voient qu’ils peuvent se faire de l’argent et ils vont détruire leurs terres comme nous l’avons fait bêtement. Et pourtant à consommer moins vite leurs ressources minières, en les utilisant intelligemment tout préservant leur environnement, ils ne pourraient que s’enrichir. Mais …Non, il faut faire de l’argent et vite. Et tanpis si le golfe du Niger est devenu un réservoir à pétrole sans poisson. Tanpis si le centre Afrique défriche massivement et que les arbres qu’on ne replante pas ne repousseront plus. L’homme blanc s’est comporté comme un idiot. Pourquoi les Africains ne feraient pas pareils, n’est-ce pas ?
Quand le dernier arbre sera abattu, La dernière rivière empoisonnée, Le dernier poisson pêché, Alors vous découvrirez Que l’argent ne se mange pas.
Géronimo, chef Apache.